» Dans Histoire du soldat, précis et incisifs, les sept musiciens s’approprient l’adresse rythmique avec laquelle Marc Minkowski aborde cette partition. Quant à L’Amour sorcier, Marc Minkowski contrôle sans rien laisser au hasard cette musique faite de tension et de rugosité. » Lire l’article
Alain Boeuf, L’Humanité, 4 novembre 2013