« Marc Minkowski passe avec une sombre exaltation de l’Orphée de 1774 à la version italienne, dont la concision l’inspire. Vigoureuse, vibrante et ancrée dans des basses vrombissantes, cette version renoue avec les plus riches heures des Musiciens du Louvre Grenoble » Lire l’article
(crédit : Matthias Baus/ Internationale Stiftung Mozarteum)
Mehdi Mahdavi, Altamusica.com, 27 mars 2014