« Offenbach investit dans les Bouffes Parisiens et y fait jouer des comédies à grand spectacle, en commençant par un Orphée aux Enfers qui fait délirer de bonheur le public parisien en dépit de ses audaces politiques et morales. (…) Les chefs-d’œuvres se succèdent à une cadence effrénée : La Belle Hélène, La Vie parisienne, La Grande-duchesse de Gerolstein, La Périchole. Il y recourt à de grandes voix, la soprano Hortense de Schneider devient son égérie. La tradition se maintient jusqu’à nos jours. »
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Le Soir – 29.06.19
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