» Sur scène, après la sobriété de L’Histoire du soldat, place aux belles chemises colorées pour les messieurs, et toute une série d’espagnolades avec les mains de la part de l’ensemble des danseurs afin d’accompagner la musique très appuyée de de Falla. On passe un bon moment, avec l’agréable impression de se retrouver en famille. Sympa quoi. A la fin, standing ovation, tout le monde vient saluer. » Lire l’article
Aurélien Martinez, Le Petit Bulletin, 17 octobre 2013
(crédit : Marco Borggreve)