« L’emploi d’instruments d’époque permet de mieux faire ressortir le dialogue entre les cordes et les vents. On peut être surpris par certaines sonorités, par exemple, les sons bouchés du cor naturel au début de la symphonie « la Grande ». Ce sont des timbres, qui, littéralement, « parlent ». Il est aussi intéressant de noter que le hautbois viennois est toujours utilisé dans les orchestres à Vienne », déclare Marc Minkowski. Réécoutez les Symphonies n°5, 6, 7 et 8 de Schubert données à Vienne en mars 2012 sur : http://liveweb.arte.tv/fr/cat/Classique/
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