“La figure tutélaire du Cantor de Leipzig [Bach] (qui plane notamment dans la double fugue du Cum sancto spiritu) n’est pas la seule caractéristique remarquable [de la partition de la Messe en ut ] : que dire par exemple du déchirant Qui Tollis et de ses audaces dynamiques et harmoniques ? Voilà sans doute l’une des plus belles pages de la musique.”
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Le Parisien étudiant –10.12.2018
© Benjamin Chelly / Les Échos