» Les Musiciens du Louvre Grenoble ont atteint une plénitude zénithale, alliant souplesse et rigueur, luxuriance et sobriété, élégance et générosité et une forme d’urgence salutaire, comme si l’encre de cette musique n’était pas encore sèche. » Lire l’article
Le Monde, 1er février 2013