« Le fougueux Chérubin, devenu un Don Giovanni hagard, a vieilli mais gardé la voix et les traits capiteux de Jean-Sébastien Bou : il orchestre, avec l’assise d’un Don Alfonso affaibli mais aux appétits intacts, une intrigue adultérine dont l’issue, connue de tous, a moins d’importance que les moyens déployés comme autant de cartes à jouer, que manieront les personnages et qui deviendront éléments du décor. »
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Bachtrack – Suzanne Lay-Canessa – 13.11.2017
© Mats Bäcker