« Schubert réserve sans cesse de délicieuses surprises » (article complet)
« Le directeur du Konzerthaus était ravi de notre travail sur les Londoniennes de Josef Haydn, une intégrale en concert enregistrée live. Il voulait poursuivre la collaboration. Beethoven me semblait un peu prématuré ; Schubert s’est naturellement imposé. Dans un certain sens, il représente une continuité dans l’évolution de la symphonie viennoise par-delà les coups de boutoir de Beethoven. Cette musique présente le grand mérite de jouer avec l’inattendu : elle nous réserve sans cesse de délicieuses surprises. »
Propos recueillis par Serge Martin, Le Soir, 29 août 2012