» Chez Wagner, le discours orchestral est d’une force incroyable. On a vraiment l’impression d’être dans une tempête en mer, avec les sonneries de cuivre. On ressent l’écume d’un bout à l’autre dans la musique. Tandis que chez Dietsch, il y a un mystère, une évocation de la mer, mais c’est plus narratif que sonore. » Lire l’entretien accordé par Marc Minkowski aux Affiches
Les Affiches, entretien réalisé par Caroline Falque-Vert, 10 mai 2013
(crédit : Marco Borggreve)