Une intégrale forte et personnelle
« Dans l’intégrale des Symphonies de Schubert, sans quitter la souplesse et la transparence dont il est champion, Marc Minkowski opte pour une sorte d’amène rusticité : tempos modérés, dansants, myriades de couleurs, large dynamique, détails fignolés : la Symphonie » la Grande » y gagne. »
Martine Dumont – Mergeay, La Libre Culture, 12 septembre 2012