Schubert, symphoniste du futur (voir l’article)
« L’enregistrement de l’intégrale Schubert m’a peut-être fait découvrir les vertus d’une certaine insouciance, du « laisser-faire ». Je dois ajouter qu’entre l’enregistrement des symphonies de Schubert et Le Trouvère, il y a eu la Saint-Matthieu de Bach, qui a encore accru ce sentiment, peut-être pas d’insouciance, mais, disons, de détachement. »
Entretien réalisé par Martine D. Mergeay, La Libre Belgique, 10 septembre 2012