» Marc Minkowski explore la musique de Gluck depuis de nombreuses années : ceux qui ont entendu son Armide en concert en 1996 ne sont pas prêts de l’oublier, après quoi était venu une mémorable Iphigénie en Tauride, les deux débouchant sur un enregistrement de référence chez Archiv, sans oublier un Orphée en Eurydice en 2004. Restait à l’entendre dans Iphigénie en Aulide. Même si la partition qu’il dirige n’est pas intégrale, on l’a dit, mais l’on retrouve l’énergie et la tension que le chef sait insuffler à tout ce qu’il dirige. » Lire l’article
Laurent Bury, Forum Opéra, 13 juin 2013