« Si on compare Ariodante avec certains ouvrages précédents, on remarque une intrigue plus simple et moins pompeuse, sans événements secondaires qui encombrent l’action principale et vous font perdre le fil avec facilité. Handel procède implacablement de situation en situation jusqu’à l’heureux dénouement. Il y a comme un désir de fraîcheur, de spontanéité qui apparaît tout au long de cette histoire d’amour qui se déroule en plein air et en habits de fête. Moins de récitatifs, plus d’airs et d’ensembles, l’ouvrage serait-il presque parfait ?
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