« Enfin Paris entend Les Contes d’Hoffmann tels qu’Offenbach les a rêvés, grand opéra fantastique avec une seule interprète dans les trois rôles féminins. Pour Marc Minkowski, le défi était de taille, qui avait jusqu’alors défendu la version avec dialogues parlés, mais sait trouver le ton juste à la tête de ses Musiciens du Louvre et d’une distribution idiomatique. L’élan général de la battue peut s’appuyer sur des Musiciens du Louvre sémillants. »
Mehdi Mahdavi, Altamusica, novembre 2012