» Le soleil noir des Musiciens du Louvre Grenoble rayonne, choeurs et orchestre confondus dans un geste si éloquent, dans une constante invention poétique qui nous font Gluck décidément si proche, et ses héros si familiers. Personne depuis John Eliot Gardiner n’a su trouver si naturellement la syntaxe du Chevalier, mais là où l’Anglais animait un marbre, c’est le sang et la chair que Marc Minkowski expose. Admirable, au point que cela suffit pour faire de cette Alceste, malgré ses pailles, plus qu’un spectacle, une vérité. » Lire l’article
Jean-Charles Hoffelé, Concert Classic, 16 septembre 2013