« Pour incarner [Manon], impossible de se contenter d’une oie blanche qui vocalise comme un rossignol. Il faut une artiste hors norme, capable de dépasser l’incarnation individuelle pour s’élever jusqu’au mythe. Py l’a trouvée en la personne de Patricia Petibon, qui était déjà sa Lulu. Sa Manon est à prendre ou à laisser, en bloc… »
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Le Figaro –14.05.19
© Stefan Brion