© Ewa Marie Rundquist
Johann Sebastian BACH (1685 – 1750)
Concerto pour violon et hautbois en do mineur BWV 1060
Cantate « Geist und Seele wird verwirret » BWV 35
Johann Christoph BACH (1642 – 1703)
Cantate « Ach dass ich Wasser genug hätte »
Johann Sebastian BACH (1685 – 1750)
Cantate Gott soll allein mein Herze haben BWV 169 : Sinfonia
Cantate Wahrlich, wahrlich, ich sage euch BWV 86 : Aria « Ich will doch wohl Rosen brechen »
Cantate Am Abend aber desselbigen Sabbats BWV 42 : Sinfonia
Cantate Widerstehe dich der Sünde BWV 54 : aria « Widerstehe dich der Sünde«
Cantate Vergnügte Ruh, beliebte Seelenlust BWV 170 : aria « Vergnügte Ruh, beliebte Seelenlust »
Musiques en Écrins :
Johann Christoph BACH (1642 – 1703)
Cantate « Ach dass ich Wasser genug hätte »
Johann Sebastian BACH (1685 – 1750)
Cantate Wahrlich, wahrlich, ich sage euch, BWV 86 : aria « Ich will doch wohl Rosen brechen »
Johann Bernhard Bach (1676 – 1749)
Ouverture de la suite n°1 en sol mineur
Johann Sebastian BACH (1685 – 1750)
Cantate Widerstehe dich der Sünde BWV 54, version transposée
Johann Adolph HASSE (1699-1783)
Sinfonia op 5 n° 6 en sol mineur
Johann Sebastian BACH (1685 – 1750)
Cantate Geist und Seele wird verwirret BWV 35 : aria « Gott hat alles wohlgemacht »
Concerto pour violon en la mineur BWV 1041
Cantate Vergnügte Ruh, beliebte Seelenlust BWV 170
Thibault Noally Direction musicale
Dates et lieux
18 janvier 2018, 20h : Opéra, Massy
2 juin 2018, 20h : La Grange au Lac, Évian
2 août 2018, 20h30 : Église Saint-Etienne, Vallouise-Pelvoux, Festival Musiques en Écrins
Durée : 1h20
Distribution
Mezzo-soprano Anne Sofie von Otter / Anthea Pichanick pour le festival Musiques en Écrins
Les Musiciens du Louvre
Direction musicale Thibault Noally
Présentation
Bach compose énormément de musique à destination de l’église : plus de 250 cantates sacrées, cinq messes et cinq passions dont les célèbres Messe en Si mineur et la Passion selon saint Matthieu. Bach déverse toute son imagination et son univers riche dans les airs et les sinfonias de ses cantates. Son oncle, également compositeur, a écrit « Ach dass ich… », qui est l’un des plus beau lamento de l’Allemagne du XVIIe siècle.
À la direction musicale, Thibault Noally :`
« Il s’agit d’un florilège d’airs et de sinfonias de cantates de Bach qui montrent toute l’imagination et l’univers varié du compositeur et j’ai également choisi de rendre hommage à un de ses oncles avec son lamento « Ach dass ich genug wasse hätte » qui est un des plus beaux de l’allemagne du 17e. »
Plus de photos
Festival des Écrins - 02.08.2018
Anthea Pichanick
Anne Sofie von Otter
Thibault Noally
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