Arcangelo CORELLI (1653-1713)
Sonate en trio n°1 en fa majeur, Op. 3
I. Grave
II. Allegro
III. Vivace
Francesco Antonio BONPORTI (1672-1749)
Sonate en trio n°7 en sol mineur, Op. 6
I. Preludio : Largo
II. Allemanda : Allegro
III. Giga : Presto
Arcangelo CORELLI (1653-1713)
Sonate en trio n°1 en do majeur, Op. 4
I. Preludio
II. Corrente
III. Adagio
IV. Allemanda
Pietro Antonio LOCATELLI (1695-1764)
Sonate en trio n°1 en sol majeur, Op. 5
I. Andante
II. Largo – Andante
III. Allegro
IV. Vivace
François COUPERIN (1668-1733)
Le Parnasse ou L’Apothéose de Corelli
Corelli au pied du Parnasse prie les muses de le recevoir parmi elles
Corelli charmé de la bonne réception qu’on lui fait au Parnasse en manque sa joye. Il continue avec ceux qui l’accompagnent
Corelli buvant à la source d’Hypocrâne, sa troupe continue
Enthousiasme de Corelli causé par les eaux d’Hypocrâne
Corelli après son enthousiasme s’endort, et sa troupe joue le sommeil suivant
Les Muses réveillent Corelli et le placent auprès d’Apollon
Remerciement de Corelli
Arcangelo CORELLI (1653-1713)
Sonate en trio n°5 en ré mineur, Op. 3
I. Grave
II. Allegro
III. Largo
IV. Allegro
Dates et lieux
12 novembre 2014, 19h30 : Hôpital Couple Enfant, La Tronche
13 novembre 2014, 14h15 : Musée de Grenoble (séance scolaire)
13 novembre 2014, 19h : Musée de Grenoble
Durée : 1h
Distribution
Flûte : Jean Brégnac
Violon : Paula Waisman / Louis Créac’h (le 13 nov.)
Violoncelle : Jennifer Hardy
Clavecin : Francesco Corti
Présentation
Au XVIIIe siècle, la musique italienne en général et Arcangelo Corelli en particulier, suscitent un véritable engouement en France.
François Couperin considère le violoniste, chef d’orchestre et compositeur comme l’équivalent en Italie de Lully en France.
Dans Les Goûts Réunis, recueil de sonates qu’il compose en 1724, Couperin s’efforce de copier le style de ces deux maîtres. Il dédie au génie italien son dernier morceau : L’Apothéose de Corelli.
Corelli inspire également ses compatriotes. À commencer par ses élèves Pietro Locatelli, violoniste virtuose précurseur de Paganini, et Francesco Bonporti, compositeur dont les Invenzioni ont parfois été attribuées à Bach.
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Ce qu'ils en disent
« C’était passionnant. Nous avons eu de beaux échanges. Par exemple nous avons découvert que dans la musique baroque, les notes n’étaient pas toutes indiquées comme au 19e siècle mais que la partition laissait une part à l’improvisation. Ce qu’on allait écouter durant le concert serait unique. Pas comme une pièce dont les répliques sont écrites précisément et redites à chaque représentation. Au concert, on vit un moment unique, et on le partage, c’est cela qui est intéressant. »
Aurélie Burnet-Fournier, animatrice médiatrice secteur 3 (Mistral), au sujet de la rencontre Pass Culture, le 13 novembre 2014 autours de L’Apothéose de Corelli (Musée de Grenoble).