Cycle Schubert – La preuve par neuf
à propos de la Symphonie Inachevée : « Les motifs s’y répondent avec une logique imparable, chaque voix trouvant sa place dans un e?quilibre sonore parfait; les instruments anciens accentuent le tragique des tutti, les triple piano touchent à l’imperceptible transparence. Deux mouvements suffisent à jeter l’auditeur dans un drame existentiel d’ou? est exclue toute tentative d’espoir. »
(Gilles Mathivet, Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné, Avril 2011)