» Sommet du récital, l’incontournable Partita en ré mineur et sa monumentale Chaconne. La mobilité de la main gauche, l’homogénéité du son, la verve des relances servent une page où l’on guette la moindre faille : ici il n’y en a pas, la Chaconne se déroule tel un fleuve d’abord tranquille puis impétueux ; les arabesques sont parfaitement enchaînées sans que le soliste perde de vue la structure complexe du mouvement. » Lire l’article
Jean-Luc Macia, Diapason, novembre 2013
(crédit : Albaric Little Rebecca)