» Marc Minkowski, auquel on doit quelques réussites gluckistes, confirme, dans Alceste, son goût pour ces lignes pures, amoureusement tendues, ce feu qui couve sous la glace, cette absence d’effet ; il a parfaitement assimilé ce que l’on a parfois rapidement appelé la » réforme de Gluck « , qui vise à rechercher la vérité du drame. Le choeur des Musiciens du Louvre Grenoble n’encourt pas le moindre reproche. » Lire l’article
Michel Parouty, Opéra Magazine, novembre 2013