» La partition de Gluck est magnifiquement mise en valeur par Marc Minkowski et ses Musiciens du Louvre Grenoble. « Minko » manque parfois de velouté, mais il prend cette musique à bras-le-corps, la rudoie, la malmène, la fait hurler, crier, bondir, vrombrir. Il y a une énergie folle dans sa direction souvent jubilatoire. L’efficacité dramatique de Gluck n’en est que plus évidente. Les choeurs, souvent enflammés par le chef, sont au diapason de l’oeuvre. » Lire l’article
Nicolas d’Estiennes d’Orves, Classica, octobre 2013