« À tout seigneur tout honneur, c’est bien la musique avant le chant qui triomphe ce soir, et c’est sa direction qu’il faudra souligner en premier : l’infinie palette de couleurs que distille sa mirifique formation tout au long de la soirée, la souplesse de son discours, son souci du détail poussé à l’extrême (..) sa propension pour une dynamique sonore contrastée, sa faculté à jouer avec le temps, silences compris, et de faire de l’orchestre un personnage à part entière, n’appartiennent qu’à lui. Un Haendel aussi luxueux, sensuel et poignant, ça n’a pas de prix ! »
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