« Les musiciens ont ensuite pleinement restitué les thèmes mélodiques, l’inventivité et l’humour de la Symphonie n°13 en ré majeur de Joseph Haydn. Dans la seconde partie, la Sinfonia a quattro n°6 en fa majeur de Johann Stamitz, tout en lenteur et en difficulté pour
la partie soliste, s’est mêlée aux sonorités du premier violon. »
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