« Il faut prendre Offenbach au sérieux. C’est un grand maître de l’humour et de la légèreté, comme Chaplin ou Keaton. Il est indémodable et il faut se garder de le traiter avec facilité.” répond Marc Minkowski à Guillaume Tion pour Libération.
Le maestro dévoile des astuces de direction : « Il faut le diriger à l’instinct. […] Il existe chez Offenbach une fragilité qu’il faut respecter. » Découvrez les autres ici.
Next Libération – 09.11.2018
© Les Contes d’Hoffmann – Musikfest Bremen