«Après une sinfonia instrumentale sur un tutti dansant, la mezzo-soprano chante le dramatisme et la ferveur, devenant presque chef à la place de Noally, guidant ses accompagnants solistes dans ses légers rubati et ses vocalises finales exaltantes. Les artistes reviennent par deux fois sous les applaudissements d’un public séduit. »
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Olyrix – 21.01.2018
© Ewa-marie Rudndquist