« C’est ce que se serait exclamé Mozart s’il avait entendu Les Musiciens du Louvre interpréter l’intégrale de ses Quatuors pour flûte (…) dans des crescendos qui donnent l’illusion d’entendre un orchestre de chambre au complet, ou des pianissimos qui laissent chaque instrument prendre alternativement sa place de « soliste » ! » Gille Mathivet, lire l’article.
Les Affiches – 29.04.2016